Tout le monde,
même celui qui s’imagine être le plus nul au golf,
possède en soi les capacités d’améliorer
son jeu avec plaisir !
Comme chez de nombreux golfeurs, les parcours se suivent, mais ne se ressemblent pas. Un jour, les coups sont magnifiques et un autre, on ne se sent pas très bon au golf. Un matin, on ne s’imagine concurrencer les plus grands et un soir, on touche le fond.
Même les meilleurs connaissent une mauvaise passe golfique et pensent être devenus de piètres golfeurs. Chez un amateur, les pénalités, les mauvais coups, les erreurs d’appréciation des distances s’accumulent facilement. Ce dernier n’a pas les capacités d’analyse et d’acceptation d’un professionnel.
Alors, on cherche à modifier tout ce que l’on croit nécessaire. Catastrophe ! C’est l’effet papillon de la destruction de son jeu de golf, de l’anéantissement du plaisir golfique.
Voici un florilège de tout ce que l’amateur de golf souhaite modifier après seulement une mauvaise partie : un geste, son grip, le placement de ses pieds, la vitesse de son swing, l’adresse, le placement de la balle, une partie de son équipement comme ses fers, son driver, ses bois ou son putter, voire les balles de golf…
Pourtant, la solution est si simple : adopter une vraie routine et s’y tenir. La confiance s’installe avec le temps et s’érode avec les changements permanents. En cas de mauvaises passes, s’appuyer sur les points essentiels de sa routine permet de gagner en régularité.
Tous les amateurs aspirent à trouver les astuces pour perfectionner leur jeu, grimper en index et ne plus se trouver nuls au golf. La solution est en eux, enregistrée dans la tête et dans le corps du golfeur : une routine sûre et efficace.
À propos
Le golf : une passion dévorante et un sport captivant
Depuis la pandémie de Coronavirus, j’ai recherché un sport pour remplacer mon premier amour, le tennis. Plus de 20 ans sur les courts à s’épuiser après une balle jaune. Puis la quarantaine a vu venir un besoin de liberté, de nature, de verdure.
Liberté oui, mais pas sans quelques efforts. Le monde du golf m’a tendu la main avec une initiation au golf gratuite. Même si les détracteurs sourient, frapper la petite balle blanche est bien une pratique sportive. Le physique et le mental s’allient pour une plénitude totale sur le tapis vert d’un parcours de golf.
J’avais déjà quelques bases acquises une dizaine d’années en arrière, mais pas suffisantes pour fouler les 18 trous. Manque de confiance ! Surtout, je me croyais mauvais golfeur.
Après un bel échange avec le directeur du golf de Mionnay, j’ai eu accès à de nombreux cours collectifs, accessibles à tous les débutants, pour retravailler chaque compartiment du jeu de golf.
Quatre mois après cette grande décision de consacrer du temps libre au perfectionnement de mes coups, je prends mon pied (et parfois un peu la tête). J’enchaîne les entraînements dans une école de golf de qualité, une académie accessible à tous, et j’ai du plaisir du grand parcours jusque sur le green.
Comment s’éclater,
qu’on soit débutant ou confirmé ?
La solution : progresser lentement, à son rythme, tout en intégrant des bases solides sur lesquelles s’appuyer.
Tous les compartiments comptent, il ne faut pas en négliger aucun : mise en jeu, approche, putting…
Mon objectif est d’améliorer mon score, en réduisant le nombre de putts sur le green, et surtout en continuant de me faire plaisir…
Je souhaite tutoyer l’index 20. Est-ce que c’est réalisable, l’avenir me le dira ?
Aujourd’hui, je suis 22.4 après un premier tournoi très réussi.
Le golf, c’est physique
Entre le swing et les 6 km minimums d’un grand parcours de 18 trous, les efforts sont importants. Les calories brûlent sur un parcours par l’enchaînement progressif des efforts.
Ce sport est stratégique
La stratégie permet de prévoir et/ou d’anticiper les prochains coups. L’esprit est en ébullition pour remporter la bataille face au parcours, pour s’approcher du par, de son par.
Le golf, ça détend
Après une bonne partie ou une séance de practice associée à une concentration accrue, le golfeur repart l’esprit libre. Bon parfois avec quelques doutes, mais c’est possible d’y remédier. Après le passage de la carte verte, tous les plus beaux golfs sont à portée de club. Les parcours splendides détendent grandement (l’eau, les arbres, les oiseaux, les autres animaux…).
Le golf, c’est social
Au golf, on croise du monde, des nuls et des très bons. Et tout est fait pour que chacun partage une partie de golf. C’est la beauté de ce sport. Vous pouvez profiter des parcours de golf auprès d’un professionnel comme d’un amateur. Chacun partage la même passion de la balle blanche. Le stableford, méthode de calcul du score, permet de s’affronter amicalement avec les joueurs de tout niveau.
Golfer ça diminue le stress
Même si parfois, on se sent frustré pas son niveau de jeu, le golf diminue le stress. La combinaison d’efforts, de la marche, du plaisir font que tous les soucis disparaissent et apaisent le corps et l’esprit.
le golf, c’est bon pour la santé
Avec tous ces bienfaits, le golf est bénéfique pour la santé. De nombreuses études le démontrent, le golf augmente l’espérance de vie et réduit les risques cardio-vasculaires.
Une bonne progression et du plaisir pour ne plus se sentir mauvais au golf
Si comme moi, vous souhaitez intelligemment progresser au golf, profiter des plus beaux parcours et, par exemple, arrêter de creuser les bunkers, je vous propose toutes mes astuces de golfeur amateur qui fonctionnent.
Je les éprouve à chaque instant pour que tout le monde arrête de se croire nul au golf.
En effet, on trouve une multitude de vidéos sur internet créées par des professeurs de golf ou professionnels adaptées pour les excellents joueurs. Mais, le commun des mortels, la majorité des amateurs de golf n’ont pas la chance de se rendre quotidiennement dans un magnifique golf. Ils sont frustrés de ne pas enchaîner les seaux de balles, les approches et tous les gestes techniques indispensables pour une bonne pratique du golf.
À aucun moment, je ne souhaite remplacer un pro de golf. Je propose de la valeur ajoutée à tout ce qu’il vous enseigne.